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| Textes érotiques..... | |
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Auteur | Message |
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CASSANDRE plus haut dans sa sphère
Nombre de messages : 1654 Age : 115 Localisation : Dans le coeur de ceux qui m'aiment Date d'inscription : 27/01/2007
| Sujet: Textes érotiques..... Dim 21 Oct - 11:16 | |
| Texte déplacé dans "textes érotiques sans commentaires... Cassandre
Dernière édition par le Dim 6 Jan - 18:28, édité 1 fois | |
| | | CASSANDRE plus haut dans sa sphère
Nombre de messages : 1654 Age : 115 Localisation : Dans le coeur de ceux qui m'aiment Date d'inscription : 27/01/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Dim 21 Oct - 23:29 | |
| J'ai sorti mon texte :La robe rouge du public pour le mettre dans le privé.
La robe rouge Par cette chaude journée d’été, se retrouvant sur le quai de la gare et elle n’a qu’un désir : se retrouverchez elle, seule. Cette journée fort attendue, cette journée passée chez son amant, ne représente à cette heure un peu tardive qu’un amalgame de regrets et d’interrogations. Rien de ce quelle attendait de l’homme qu’elle côtoie n’était au rendez-vous.Aussi,c’est avec lassitude qu’elle monte dans le wagon désigné par son ticket réservé la veille.
Peu de monde à cette heure-ci quelques hommes d’affaires encostume-cravate, deux femmes complètement isolées dans leur lecture, et tout au fond cet homme au regard si clair, si bleu… Sans trop se poser de question, elle avance dans le compartiment et vient se placer comme attirer par un aimant, face à lui.
Pourquoi cette femme seule, à la silhouette bien dessinée dans sa robe légère se retrouve ainsi face à cet inconnu? pas de réponse à cette question. Peut-être une revanche à sa déception. Envie de plaire, envie de se sentir remarquée, envie de sentir ce regard l’envelopper, et peut-être même envie que ce regard l’imagine sous sa robe de soie rouge.
Le train démarre, et commencent le balancement de la voiture et le ronron des rails. Elle se laisser emporter vers ce monde si accessible et pourtant si difficile parfois, qu’est le monde du rêve. Elle sent parfois le regard furtif de l’homme qui se trouve à quelques mètres d’elle. Ne pouvant pas se fixer sur la lecture de son bouquin, elle relit sans cesse la même page. Son esprit rebondit sur les mots pour s’envoler au loin, dans ses pensées, ses souvenirs, sa rancœur, ses questions….
Elle regarde à nouveau, juste un instant, un court instant, cet inconnu à l’allure un peu inquiète assis ainsi la regardant furtivement. Seuls face à face, personne d’autre pour les importuner, les autres voyageurs ayant comme enchantement déserté l’espace.
L’envie de faire évoluer la situation devenue un peu pesante, pousse l’homme à l’aborder poliment. Sa voix de velours, l’enveloppe, la laisse dans une torpeur chaude et enivrante. Soudain, elle comprend. Le souvenir empli sa mémoire, sans effort, en même temps que la douceur de son parfum… Elle sait d’où elle le connait. Elle l’a déjà aperçu lors de son passage au bar. Elle a senti chez cet homme quelque chose de surprenant, une attitude, une manière un peu craintive. Elle ne l’a vu que de dos, mais son attitude l’avait déjà troublée.
Son désir violent de cet après-midi semble renaître de ses cendres… mais est-ce raisonnable ??? Où commence, et où s’arrête le raisonnable ??? Comment réagir ?, se laisser guider par ses instincts de femme ? ou se laisser guider par le bon sens ?
Le regard bleu d’océan de cet homme la transperce, sans même y prendre garde, elle surprend sa respiration un peu plus vive que le calme serein qui devrait l’habiter. Son attitude à lui aussi fait entrevoir un désir aussi soudain que violent. C’est elle qui franchira la ligne blanche, celle qui sépare le réel de l’imaginaire. Comme dans un dédoublement de sa personnalité, elle se lève, et s’approche de la fenêtre. Au loin, le paysage défile. Debout devant ce spectacle, elle sent la main de cet inconnu glisser le long de sa cheville. Un long tressaillement lui traverse le corps, et lui fait oublier le train, le temps qui passe, son mal-être. La douceur de sa main, la caresse au pli de son genou, le long de sa cuisse, puis sans hésitation, sous le creux de ses fesses. Les doigts s’y promènent longuement, prennent leur temps… elle écoute le frôlement de ces gestes si doux. Elle n’ose se retourner, mais pourtant elle le fait. Il le faut, elle doit pouvoir lire dans le regard de cet étranger, le désir. Voir son désir ! Ses mains caressent ses fesses, libèrent sans se presser son sexe du sous-vêtement qui le recouvre. Il remonte sa robe aux couleurs chatoyantes et avance son visage vers ce beau corps bronzé aux courbes bien dessinées.
Les rideaux sont tirés, ils sont hors de la vue des autres passagers, le train continue sa course, la tension monte. Leur respiration se confond dans le même souffle. Il lui frôle tout le corps, elle se cambre sous chacune de ses caresses. Ses seins durcis par le désir pointent sous la fine soie rouge, il dégrafe les boutons pour ainsi faire apparaitre ces deux joyaux libres sous la robe.
Il plonge à nouveau son regard dans le sien, et tout en dessinant des cercles sur le bout de ses seins il prend sa bouche lentement, doucement sans succomber au désir de la posséder plus vivement. Commence alors une multitude de baisers comme elle les aime, des doux, des vifs, des langoureux, des plus violents, ils se dégustent. Ils savent l’un et l’autre combien le temps leur est compté, mais prendre du plaisir à s’embrasser, c’est déjà une façon de partager.
Dehors, le paysage défile, elle sent ses mains lui presser les fesses, les masser, et sans y prendre garde, elle se retrouve sur la banquette allongée sans même un mouvement de recul. La nuit commence à tomber, dans la pénombre elle aperçoit ce regard toujours aussi puissant l’interroger et chercher son approbation pour poursuivre la descente de sa bouche vers son sexe déjà prêt à se donner. Nul besoin de répondre, ses lèvres la couvrent de petits baisers légers, et courent ainsi jusqu’à sa toison bien dessinée. Une sensation de chaleur l’envahit aussitôt, l’adresse de cet homme à trouver les points sensibles de son intimité la surprend, et c’est comme un volcan en éveil qu’un premier gémissement s’échappe de ce corps tout offert.
Le train continue sa route, dehors, la nuit est maintenant là, seul un croissant de lune pour éclairer les deux amants.
Sa langue bien mouillée la fouille. Elle se fait fine pour lui titiller le petit bouton source de tant de plaisir, elle se fait bien large, de velours et passe sur son sexe afin de ressentir toutes les contractions de ce corps en émoi.
Le train est silencieux, seuls ses gémissements sont couverts par le bruit des rails.
Il continue à lui donner du plaisir ainsi lentement, la regardant furtivement pour mesurer combien elle apprécie chaque geste, chaque caresse. Réalisant que le plaisir n’est pas partagé, qu’elle ne fait que recevoir, elle se relève et se trouve sur lui. Ainsi, elle peut apprécier la beauté de son visage, le caresser, le dessiner du bout du doigt, puis sans qu’il ne l’y invite, elle glisse son corps le long du sien. Elle dégrafe sa chemise et passe la main sur sa peau satinée, le bouton de son jean ne résiste que peu de temps et libère ainsi le sexe de l’homme, totalement érigé, prêt depuis si longtemps à lui donner du plaisir. Prendre ce sexe, le sexe de cet inconnu. C’est à la fois surprenant, excitant, envoûtant… et pourtant, c’est bien ce qu’elle fait. Timidement pour commencer, puis c’est plus précisément qu’elle s’en empare pour le porter à ses lèvres.
Lèvres, oh combien désireuses de lui donner de la douceur. Ce plaisir partagé d’un sexe d’homme dans sa bouche. Le lécher pour l’apprivoiser, le prendre au bord de ses lèvres pour en découvrir le goût, le prendre dans sa bouche pour apprécier la tension de son partenaire. Elle le caresse avec sa langue, le happe, se laisse aller à le savourer. Elle le sent prêt à exposer de plaisir, et ne veut pas se priver de cet instant magique. Aussi, elle se lève et va langoureusement vers la fenêtre et dessine une forte cambrure avec ses reins afin de l’inciter à la prendre ainsi debout.
Il s’approche d’elle, trousse sa robe écarlate, elle sent ce sexe dur entre ses fesses. Elle le serre entre ses cuisses, commence ainsi des va-et-vient tout en se laissant caresser les seins ainsi libérés. La violence du désir le pousse,lui, un peu brusquement à la pénètre ainsi toute offerte à lui. Son sexe humide se gonfle de plaisir. Depuis combien de temps n’avait-il pas senti cette douceur charnel d’un sexe de femme l’envahir ? Il ne veut même plus y penser, il préfère vivre l’instant présent. C’est ainsi, l’un dans l’autre, devant un paysage nocturne, qu’il ne leur faudra que peu de temps pour se rejoindre dans cette bulle de plaisir qu’un râle quelque peu animal que seul le roulement du train parvient à étouffer.
A cet instant tout bascule. Un brouhaha annonce la venue du contrôleur, et c’est aussi, là que le regard d’azur devient d’acier et s’assombri. Elle se sent perdue, que se passe-t-il ? Sans plus attendre, il la laisse là, la robe relevée, avec ses rêves, ses espérances et se précipite dans le couloir. Restant ainsi, seule assise, abandonnée, elle regarde à nouveau le paysage défiler, les lumières lointaines. Elle attend la venue proche de sa destination. Il pleut sur le quai lorsqu’elle l’aperçoit soudain, il se dirige vers la porte de sortie. Une envie de courir vers lui la transperce. Pas le temps. Elle comprend soudain. Un homme en uniforme se dirige vers lui. L’inconnu lui jette un dernier regard, un regard sombre, noir, violet, un regard qui la serre dans ses bras, un regard qui l’enveloppe, un regard qui lui fait l’amour, un regard qui la pousse versla jouissance extrême, un regard de désespoir…..
C’est ainsi qu’elle comprend la fuite de cet homme recherché par les autorités et que pour la protéger, il n’a pas osé prendre le risque d’aller plus loin vers leur désir, qu’il n’a pas réussi a déjouer ceux qui le recherchaient.
Elle ne sera jamais ce qu’il est devenu, mais le souvenir de la douceur de sa peau, du délice de ses caresses, la tendresse de ses baisers, restent à jamais placés dans un tiroir secret de sa mémoire. Parfois les jours de tristesse, elle entrouvre ce tiroir, et se replonge dans ce moment furtif de délice et ne regrette en rien de s’être laisser guidée par ses instincts de femme, le plussimplement du monde. Elle a mis ce soir là, le bon sens de coté, simplement et sans regret.
Dernière édition par le Dim 6 Jan - 18:30, édité 1 fois | |
| | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Lun 22 Oct - 12:51 | |
| La porte venait à peine de se refermer qu'elle sentait déjà le ryhtme de son coeur s'accélérer, battre d'un désir profond. Enfin elle le revoyait, et comme à chacun de leur rendez-vous elle l'écoutait parler, le parcourait du regard discrétement mais si intensément, laissant son esprit se perdre dans des pensées érotiques Lui si sur de lui, tenant un discours sérieux ... et elle écoutant à moitié .. trop immergée par ce désir inavouable. regardant ses mains parcourant le clavier, celles ci lui paraissaient si douces, qu'elle en jalousait les touches à ce moment présent. A chaque croisement de regard elle sentait le pourpre lui monter aux joues telle une gamine de 15 ans ... comme elle aimait ce bureau, cette atmosphère qui y régnait, mêlée des effluves sucrées de son parfum et celle de son envie profonde de se donner entièrement à lui. Chaque minutes passées étaient vécues intensément, meme si elle seule percevait ces rendez vous d'une autre manière que lui. Ce jour là, le soleil s'était faufillé par derrière les persiennes et éclairait la pièce de tons orangés. Qu'il était beau ... dans son costume noir .... Jettant un coup d'oeil discret à sa montre, l'heure de la séparation arrivait, le moment de cette poignée de main si impersonnelle ... Prise d'une pulsion soudaine, elle se laissa envahir,elle ne pouvait pas, cette fois partir comme ça ...avec toujours ce meme sentiment de frustration, de désir profond .. Il fit le tour de son bureau afin de la raccompagner, lui tendit la main, et laissant cette main dans la sienne, elle s'approche de lui, doucement et pose un doux baiser sur ses lèvres si chaudes. Elle ose parcourir de sa main tremblante ce corps qui depuis des mois l'a mettait en émoi. Sentant son sexe se durcir, le désir devenait plus intense. Doucement il retrousse sa robe, et d'une main habile, caresse son bouton de rose. Tout son corps frémissait, sous ses caresses expertes. Il l'a parcourait de sa langue, dans ses moindres intimités... enfin il l'a possédait entièrement, elle qui l'avait tant désiré.....elle se donnait corps et âme........ C'est la sonnerie de son portable qui vint la tirer de ce doux rêve ... de l'autre côté LUI.... le rendez-vous du jour était annulé ....
Dernière édition par le Lun 22 Oct - 18:54, édité 1 fois | |
| | | Téfy Dans l'extase
Nombre de messages : 1490 Age : 53 Localisation : Dans tes pensées :p Date d'inscription : 27/01/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Lun 22 Oct - 20:18 | |
| Je copie Cassandre et déplace aussi mon texte. Il sera mieux ici Le jour de mes 16 ans fut une journée mémorable. Mon amie Marie m'avait fait la suprise de m'inviter un week-end dans sa maison de campagne. Tres belle, avec piscine. Cette journée d'été avait tout pour être parfaite, et elle le fût! Nous y sommes arrivé en fin de matinée. Ces parents nous y avaient conduis et une fois sur place nous laissairent à la « garde » de la grande soeur Laure et une de ses amie se prénomant Eva. Elles n'étaient pas bien plus vieilles que nous, mais pour un garçon de 16 ans à peine, les filles de 18 ans sont déjà considérées comme des filles d'experience et de ce fait tres fantasmatiques. Les filles étaient dans l'eau de la piscine.Elles avaient mis de la musique latino pour créer une ambiance festive. Voir ces corps de femmes si peu protégés de mon regard me faisait déjà frissonner de désir. Marie me tira de mes rêves pour me faire visiter la maison. Nous aurons la chambre du fond à l'etage. Une chambre d'adolescente, poster aux murs, coussins colorés sur le lit... Sa soeur dormira dans la chambre d'en face avec sa copine. La vision de ces corps m'avait bien échaudé et je pris mon amie par les hanches, l'invitant à s'allonger pres de moi. Mais elle me repoussa gentillement. Elle ne se sentait pas prete à s'offrir. Laisse moi du temps m'avait elle dit. Frustré et vexé, je me rapprochais de la fenêtre et fut plus que ravis de voir que la vue donnait sur la piscine. Je me posais donc contre le mur et, tout en écoutant le discours moraliste de ma belle, je ne loupais pas une miette du spectacle qui s'offrait à moi. Les 2 copines étaient apparement plus proche que ce que je pensais. Laure jouait à soulever Eva qui croisait ses cuisses autour de ses hanches. Elle resterent là un instant puis la main de Laure monta sur le dos d'Eva et délicatement défit le crochet de son haut de maillot.Elle lui carressait le dos, du haut des fesses jusqu'à la nuque. Eva se balancait doucement comme pour simuler une pénétration. Elle défit aussi le soutient de sa partenaire et elles commencèrent une danse du buste, frottant leur poitrines l'une contre l'autre... Une parole plus forte que les autres me fit sortir de cette vision d'un autre monde pour moi. Mon ventre était bouillant, mon sexe tres dur avait du mal à trouver sa place dans mon jeans. Marie voulait partir en ballade et c'est avec grand regret que je quittais mon rebord de fenetre. Cette longue ballade avait ouvert nos appetits et nous mangeames en bord de piscine. Les 2 créatures s'étaient recouverte de paréo. Mais l'érotisme était toujours présent dans leurs yeux, et leur regard laissait deviner le moment qu'elles avaient passé. Nous finissames le repas alors que la nuit tombait. Les filles insistèrent pour faire un bain de minuit. Une décharge électrique parcourrut ma colonne vertebrale. Voyant mes yeux brillant, Marie, prise d'une crise de jalousie sachant que j'allais me monter nu devant 2 filles superbes nues elles aussi décida de nous quitter pour s'enfermer dans sa chambre. Quelques verres de champagne aidant, la musique forte dans les oreilles, les filles prirent l'initiative et quitterent paréo et maillot avant de courir se réfugier dans l'eau. Je me retrouvais là, seul face à leur regard, le sexe dur dans mon jeans... Elles n'arretaient pas de me charier pour que je me déshabille et finalement, tant bien que mal , j'otais un à un mes vétements. Plus l'écheance du caleçon approchait et plus l'excitation montait en moi. Je cachais comme je le pouvais l'excroissance avec mes mains. Mon sexe me faisait mal, dur comme du bois. Les filles le sentaient bien et me provoquaient davantage en simulant des carresses. Je finis par me retrouver nu mon sexe tendu dépassant de mes mains. Les filles ne riaient plus hypnotisées par mon entre jambe. Au moment où j'allais sauter à l'eau, Laure me cria : « nonn! » reste la. Tu as aimé ce que tu as vu cet apres midi ? Je me sentis devenir écarlate et elle rajouta: « installe toi confortablement sur ce transat, on veut te remercier de nous avoir terriblement excité à nous épier comme tu l'as fait ». Alors que je m'installais, Eva se rapprocha de Laure, passa sa main derriere sa nuque et l'embrassa longuement,langoureusement. Leurs tétons durcicaient à vue d'oeil. Laure avait une poitrine lourde, légerement tombante. Eva, elle, avait des seins plus modestes mais superbement fermes et ronds. Je ne pus m'empecher de me carresser discretement en voyant Eva descendre doucement engloutir de sa langue le téton de sa partenaire. Laure fermait les yeux, progetant son visage en arriere.les mains posées sur les hanches d'Eva. Je sentis Eva troublée lorsqu'elle me vit, la main entre les jambes faire de lents mouvements de va et vient. Les yeux mis clos. Elle parla dans le creux de l'oreille à son amie. Laure sourit et acquiessa d'un petit hochement de tête. Ces deux garces avaient décidé de me rendre fou. Eva vint s'allonger, juste devant moi sur des serviettes de plage. Laure se plaça entre ses jambes ouvertes, à quatre pattes, m'offrant une vue imprenable sur sa croupe. Alors qu'elle pencha sa tête entre les cuisses d'Eva, je sentis monter en moi l'adrenaline du plaisir. Mais je ne voulais pas jouir trop vite, je voulais que ce jeu dure encore longtemps. Je détournais donc le regad un instant pour calmer la déferlante qui arrivait au galop. Eva gémissait, ondulait son bassin, Laure, tout en la carressant de sa langue se sexe que je ne pouvais voir avait passé une main entre ses cuisses et ondulait ses fesses au rythme de ses doigts. Elle ruisselait de plaisir. Balladant ses doigts de l'anus au clitoris, s'engouffrant dans son volcan. D'un coup tout s'accelera et Eva se mit à gémir plus fort! Elle tenait la tête d'Eva dans ses doigts crispés et fut prise d'un spasme immense au même moment qu'un rale roque de plaisir sortait du plus profond de sa gorge. Laure releva la tête et la posa sur le ventre de sa maitresse. Elles resterent immobile de longues minutes comme ça. Puis Eva décala son visage et me vit, une de mes mains malaxant doucement mes testicules durcis, l'autre allant et venant le long de ma hampe. Encore un chochottement au creux de l'oreille et je les vis bouger, et se déplacer à 4 pattes vers moi.le sourire aux levres. « Laisse nous t'aider » me lanca doucement Laure. « Détends toi , ferme les yeux». Je m'executa et, apres quelques 10aines de secondes,je sentis des doigts se poser sur mon sexe qui au contact se tendit davantage. Un long ballet d'allers et venus débuta alors qu'une autre main me carressait les couilles, un de ses doigt s'aventurant même à l'entrée de mon anus,le stimulant lentement. « Garde les yeux fermés, tu es bien dur ! J'aime ta queue » ... Ces mots résonnaient dans ma tête, je ne savait plus où j'étais, qui j'étais. Alors qu'elle sentait que j'allais jouir, la cadence s'accelera. Cette main délicieuse tendit mon membre en direction du ciel et me branlait de tout mon long. Je criais ma jouissance en même temps qu'un long jet de foutre s'ejectait de mon sexe. Cette main me branla jusqu'à la derniere goutte et des râles de plaisir féminins accompagnaient chucunes de mes compulsions. J'étais vidé, je n'avais meme plus la force d'ouvrir les yeux quand cette voix me le demanda. J'ouvris les yeux au meme instant qu'un langue fine et humide s'engouffrait dans ma bouche. Apres un long et langoureux baiser, le visage féminin se recula un peu et me susura « Bon anniversaire mon beau » j'espere que ton cadeau t'as plus. Marie était là, à quelques centimetres de moi, un sourire de satisfaction sur les levres... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Mar 23 Oct - 12:00 | |
| Allez à moi........un premier volet......la suite quand j'aurai le temps.(le titre prend en compte la totalité du récit.....pas uniquement cette partie)
Sirop d’Amante douce…
Ils étaient là. Comme tous les matins, lui accoudé au comptoir, elle assise sur la banquette, bien au fond de ce bar. Comme tous les matins, ils prenaient leur café. Perdus dans leurs pensées, le regard éteint comme celui des fauves trop longtemps enfermés derrière les barreaux de leurs cages………. Leur instinct était là, mais la vie avait atténué ce qui jadis leur donnait le sourire, ce qui faisait battre leur cœur, ce qui, malgré leur âge adulte, faisait qu’ils sautillaient de joie à chaque coup de téléphone : la passion. La passion s’était éteinte. Et avec leur regard. La passion s’était éteinte, parce que la vie, leur vie en avait voulu ainsi. Ils ne se connaissaient pas, mais leur quotidien était tellement semblable. Elle était Chargée des relations extérieures pour un grand groupe européen, lui Contrôleur de Gestion. Tous deux mariés, des enfants….. Elle, un mari volage, qui ne la regardait plus, lui une épouse sage, mais si sage qu’elle en avait oublié qu’elle fut un temps une maîtresse parfaite. Le poids de la vie, des responsabilités, le quotidien à gérer, tout faisait que leur vie était devenue triste, triste à se demander pourquoi on existe tant il n’y a plus de reflet dans le regard de celui ou celle qui vous croise tous les matins.
En ce matin d’automne, il faisait froid. Tout aurait pu continuer, comme chaque jour, mais leurs regards se sont croisés. Timidement, une première fois. Mais tel un fauve qui retrouve la liberté, son instinct de chasseur venait de se réveiller. Il venait de la voir, elle, assise au fond du bar. Elle qui venait de jeter son écharpe sur ses épaules. Elle était là, jolie. Une ravissante femme blonde, mince, mais que la nature avait doté d’arguments qui ne laissaient pas de marbre. Soudain, il se sentait à l’étroit dans son costume trois pièces. Comment, cette inconnue pouvait-elle le mettre dans cet état ? il fallait qu’il le sache. Discrètement, il avait mis sa carte, avec la complicité du serveur, dans la note de son café. Quitte ou double, soit elle l’appelait, soit il ne saurait jamais.
Le travail l’appelait, il partit donc pour son bureau. En milieu d’après midi, ce n’est pas sans un sursaut qu’il vit son portable s’éclairer. C’était elle, là au bout du fil. Il entendait enfin sa voix. Sure d’elle, elle lui proposait de prendre un café ensemble le lendemain.
Les jours passaient, ils étaient toujours là, dans ce bar, toujours à prendre leur café le matin. Mais cette fois, ils étaient tous les deux assis sur la banquette. L’éclat de leur regard avait ressurgit, ils rayonnaient. Eclairés par la flamme qui brûle au fond de chacun, cette flamme qui ne s’éteint jamais……cette flamme qui s’amenuise quand rien ne va. Mais elle était revenue, grandissant jour après jour. Grandissant parce que de deux inconnus, ils étaient devenus amis. Ils partageaient rien de leur vie, mais tout à la fois. Elle était sa confidente, il la rassurait. Il était l’épaule solide, elle était l’écrin qui recueillait ses larmes.
Amis, leur complicité grandissait. A force de rires, de larmes, de confidences, un sentiment plus fort les anima. Ce sentiment qui fait que l’autre nous attire. De leur amitié, de leurs confidences, naissait aujourd’hui l’envie de se toucher, se sentir la peau de l’autre. Leurs échanges devenaient plus coquins, leurs petits mots plus empreints de désir.
A force d’échanges, de messages toujours plus chauds, leur envie d’aller plus loin, le désir qu’ils avaient l’un de l’autre, faisaient qu’ils ne pouvaient plus reculer.
Au prétexte d’un rendez vous professionnel, ils s’étaient donnés rendez vous dans une chambre d’hôtel. En ce début d’après midi, la tension était palpable. Leurs situations personnelles interdisaient toute entorse au règlement, mais le désir était si fort. Elle, savait que de toute façon, ce n’était que monnaie rendue à son mari volage. Et lui, se souvenait qu’une amie de longue date lui avait dit un jour : « vit chaque jour comme s‘il était le dernier ». Et si ce jour était le dernier ?
Ils étaient là, dans la chambre. Le cœur battant, ne pouvant plus reculer. Ils parlaient de tout et de rien, tels deux adolescents, ne sachant pas par où commencer. Dans un geste sûr, elle dégrafa son chemisier….deux magnifiques seins, de taille respectable, étaient là, donnés à ses yeux, offerts à sa bouche…..elle le voulait. Son coeur s’accéléra. Devant tant de beauté, il ne put résister. Il l’attrapa, la fit asseoir sur ses genoux. D’un geste tendre mais appuyé, il apposa sa main sur son sein droit, abaissant délicatement de sa main gauche le bonnet qui masquait son sein gauche. Un magnifique téton pointait. Il posa sa bouche sur ce dernier. Il goûtait enfin ce sein, dont il avait tant rêvé. Sa main parcourait maintenant délicatement son entrejambe, et ses petits soupirs disaient qu’elle aimait. A son tour, elle voulait le découvrir. Caressant sa tête d’une main, elle voulait sentir son désir. Sans détour, sa main plongea entre ses cuisses. Le désir était bien là. On ne pouvait en douter.
Dans un sursaut, ils s’arrêtèrent. Leur conscience venait de reprendre le dessus. Que faisaient-ils ? Qu’avaient-ils fait ? Comment allaient-ils pouvoir gérer tout cela ? Son pantalon déformé disait que le désir était toujours là. Elle s’en rendit compte et ne put se retenir. Tant pis, l’envie était trop grande. Aux diables les belles promesses, les grandes paroles. Prenons ce qu’il y a à prendre, le reste, on verra plus tard…..
Elle s’était jetée à genoux entre ses jambes. Elle ouvrit la fermeture éclair de son pantalon. Un sexe tendu était là, devant elle. Expression du désir qu’il avait pour elle. D’une main habile et experte elle l’attrapa et commença à le caresser, de haut en bas, dans un mouvement limpide et sensuel. Approchant sa bouche, ses lèvres touchaient maintenant son gland. Sa langue humide venait de le caresser…il ne tenait plus. Il voulait résister, mais la victime était si belle et le crime si gai !! elle prit dans sa bouche tout son sexe, tendu comme jamais. Ses va et vient s’accéléraient, sa main allait et venait, tournant autour de cette hampe dressée. Le rythme s’accélérait.
Puis ils échangèrent un regard. Leur conscience venait de frapper à nouveau. Malgré le désir, ils restaient là, figés. Le temps venait de s’écouler. Il valait mieux s’arrêter…. Ils échangèrent un baiser, ce baiser tendre et appuyé à la fois qui laisse paraître tant de regrets………….regrets de ne pas avoir su continuer…….
Ils avaient l’espace d’un instant goûté à ce plaisir……..ce plaisir qui faisait qu’autrefois, l’éclat de leur regard trahissait le reflet de leur âme. Une âme vagabonde, remplie de joie, une âme d’adolescent qui transgressant l’interdit, animait leur corps, transportait leur être à la rencontre de sensations inconnues……mais si belles à la fois.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Mer 24 Oct - 16:09 | |
| La suite..... Les semaines passèrent. Ils étaient toujours là. Ils étaient devenus aujourd’hui plus intimes encore. Et malgré cet essai avorté, ils savaient qu’il fallait recommencer. Recommencer parce que leurs corps le demandaient. Parce que comme deux aimants, l’attirance était toujours plus grande, parce que leurs sens en avaient décidé ainsi. Un jour qu’ils devaient déjeuner ensemble, il l’emmena dans sa voiture. Pour un restaurant. Elle le croyait. La voiture s’immobilisa au fond d’une impasse. Il n’y avait pas de restaurant. Le cœur battant, elle comprit qu’il n’y aurait pas de déjeuner. Devant eux, une jolie maison de ville se dressait. Une maison de style traditionnel telles qu’on en trouve en Alsace. Il en avait eu la garde, demandée par un ami parti en voyage d’affaires. Ses mains tremblaient. Ses jambes tressaillaient. Elle savaient que plus rien ne serait comme avant. Il lui tenait la main, montant l’escalier qui menait au premier étage. Il était sur de lui, décidé à ce que ce jour, lui reste comme un souvenir unique et mémorable. Elle était dos au mur, là devant lui au milieu de cette grande salle à manger. Elle était hésitante, ses sens, son instinct la trahissait. L’atmosphère devint lourde. Mais il fallait franchir le pas. Il la prit par la taille, posant ses lèvres sur les siennes. Tendue un instant, elle ferma les yeux. Il l’embrassait, serrant plus fort encore. Ses mains parcouraient le creux de ses reins. Sa bouche happait ses lèvres, sa langue les suçait. Elle tremblait. Son corps lui échappait, son esprit s’évadait. Ses mains au début timidement enlacées autour de son cou, s’enhardissaient et venaient maintenant effleurer son torse. Elle dégrafait les boutons de sa chemise, écartant chaque revers pour mieux sentir sa peau. Sa bouche voulait goûter le sucré de son parfum……..quittant ses lèvres, elle parcourut son cou, son épaule, jusqu’à son sein. Elle le sentait se raidir. Le désir montait, facilement palpable. Elle ne tenait plus. D’un geste rapide, elle glissa sa main pour attraper sa ceinture, qu’elle détacha en un éclair. Le bouton de son pantalon sauta. L’attrapant par les fesses, elle fit glisser le morceau de tissu sur ses jambes. Elle ne voulait que sa peau. Il fermait les yeux. Debout, tremblant à son tour. Presque nu devant cette femme qui était il y a quelques mois une inconnue. Il était là, maintenant un homme mis à nu, devant cette femme, sure d’elle, maîtrisant le moindre de ses gestes. Elle le tenait, là, dans ses mains, abandonné à chacun de ses mouvements, réduit à l’objet du désir qu’il était devenu. Il fermait les yeux, cherchait de ses mains un endroit pour se rassurer, pour détourner son esprit de ce plaisir qui montait. Il caressait maintenant ses cheveux. Elle l’avait pris dans sa bouche. Sa langue tournoyait sur son gland turgescent, sa salive chaude lubrifiait son sexe qu’elle massait tendrement. Il faisait chaud. Elle était maître, lui subissait. Mais quel subtil plaisir….les minutes s’écoulaient, il ne voulait plus qu’elle s’arrête. Et elle ne voulait plus s’arrêter. Magnifique déesse du plaisir, elle savait qu’il ne pourrait résister. Elle l’emmenait vers la jouissance, il ne pouvait plus se retourner. Dans un frisson, un râle, son ventre se contracta. Ses muscles se raidirent. Il avait joui. Sans un mot, elle avait tout accepté de lui. Ils étaient maintenant liés à jamais. Quoi qu’il se passe, quoi qu’ils fassent, cet instant serait gravé à jamais dans leurs mémoires. L’excitation l’avait trempée. Elle était redevenu presque timide, hésitante, elle qui un instant avant avait tout dirigé, elle qui était femme était soudainement redevenue une adolescente. Le temps passait. Il l’embrassa à nouveau. Il voulait lui donner à son tour, ce plaisir auquel il venait de goûter. Il dégrafa son jean. Elle portait un magnifique ensemble en soie rouge. Un string drapé de voile. Il sentait la chaleur humide d’entre ses cuisses, cette chaleur moite qui trahit l’envie, la recherche du plaisir. size=12] Il voulait goûter sa liqueur. Ce serait son sirop d’amante. Il devait avoir bon goût. Un mélange subtil de parfum, de gel douche et du velours de sa peau. Il l’assit sur le divan. Ecartant délicatement le tissu, il découvrit une légère toison dorée. Son bouton de rose était là, offert à lui. Il l’avait voulu, il était là à 10 centimètres de sa bouche. Il n’y résista pas. Sa bouche aspira son bouton, ses lèvres. Il le sentit durcir dans sa bouche. Ses lèvres étaient douces et tendres, d’une magnifique couleur rose, comme la couleur des bonbons que l’on aime sucer. Sa langue s’immisçait entre chacune d’elle, pour aspirer un peu plus le nectar de ce fruit défendu. Il aimait la sentir se tordre sous les mouvements de sa langue. Elle tenait sa main, la guidant jusqu’à son sein. Il fouillait son entrejambe, dévorant de sa bouche et de sa langue ce sexe ouvert au plaisir. Elle s’abandonnait. Elle suffoquait. Des étoiles lui tournaient la tête. Sa langue passait et repassait sur son bouton de rose. A chaque fois, c’était une décharge divine. A force de sucions, d’aspirations, de léchages, un éclair jaillit. Elle avait joui à son tour…..mais elle en voulait encore, elle s’était offerte à lui……elle était prête à s’offrir totalement…… il la voulait, elle était là……..[/size] Une porte claqua. La femme de ménage arrivait en bas. Il l’avait oublié. Et là devait s’arrêter leurs ébats. Frustration terrible, mais ils ne pouvaient pas être surpris. Leurs situations ne le voulaient pas. Il s’en voulait de l’avoir oublié. Elle aurait aimé plus, mais elle le pardonnait. C’était déjà plus que ce que la vie aurait pu leur donner, si un jour leurs regards ne s’étaient croisés au détour d’un café…….. To be continued...... :afro: |
| | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Mer 24 Oct - 17:02 | |
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| | | EDMOND Chaud bouillant !!!
Nombre de messages : 311 Age : 72 Localisation : il est Gironde Date d'inscription : 21/02/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Mer 24 Oct - 18:03 | |
| - CASSANDRE a écrit:
- Pour être franche avec vous, et bien je m'étonne moi-même, il faut savoir que j'ai écrit ce texte, d'un seul coup hier soir vers minuit, heure à laquelle j'ai du laisser mon esprit vagabondé. Je n'ai rien touché, j'ai laissé ainsi... comme quoi parfois !!!!
D'un seul coup ????ça m'étonnerait! | |
| | | CASSANDRE plus haut dans sa sphère
Nombre de messages : 1654 Age : 115 Localisation : Dans le coeur de ceux qui m'aiment Date d'inscription : 27/01/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 9:22 | |
| - EDMOND a écrit:
- CASSANDRE a écrit:
- Pour être franche avec vous, et bien je m'étonne moi-même, il faut savoir que j'ai écrit ce texte, d'un seul coup hier soir vers minuit, heure à laquelle j'ai du laisser mon esprit vagabondé. Je n'ai rien touché, j'ai laissé ainsi... comme quoi parfois !!!!
D'un seul coup ????ça m'étonnerait! Si je te suis ta pensée, jamais un seul coup !!! lol, mais pour le texte.... oui. | |
| | | EDMOND Chaud bouillant !!!
Nombre de messages : 311 Age : 72 Localisation : il est Gironde Date d'inscription : 21/02/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 13:24 | |
| - CASSANDRE a écrit:
- EDMOND a écrit:
- CASSANDRE a écrit:
- Pour être franche avec vous, et bien je m'étonne moi-même, il faut savoir que j'ai écrit ce texte, d'un seul coup hier soir vers minuit, heure à laquelle j'ai du laisser mon esprit vagabondé. Je n'ai rien touché, j'ai laissé ainsi... comme quoi parfois !!!!
D'un seul coup ????ça m'étonnerait! Si je te suis ta pensée, jamais un seul coup !!! lol, mais pour le texte.... oui. Je plaisantais.....Je connais ta verve litteraire et ta spontanéité pour douter que tu n'aies pas pu écrire cela d'un seul coup. Tu es une artiste qui a aussi besoin d'inspiration, de recueillement et de solitude..Mais pas trop longtemps. Elle permet aussi de méditer ....sur les actions à venir!!! | |
| | | Téfy Dans l'extase
Nombre de messages : 1490 Age : 53 Localisation : Dans tes pensées :p Date d'inscription : 27/01/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 16:34 | |
| Rhaaaa !! ces conchitas !! Toujours là quand il faut pas !!
Mais ça sent bon le truc à trois... je sais pas pourquoi ... hahaha !! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 16:42 | |
| Perdu Téfy le truc à trois c'est peut être une suite à l'histoire.......mais pas cette fois ci.....plus tard !! la suite..... Les couleurs de l’automne habillaient maintenant les arbres. Les jours s’étaient raccourcis, le froid se faisait plus saisissant. Les jours avaient passé. Elle s’était fait discrète ces temps ci. Les contacts s’étaient espacés. La fin de l’année, les objectifs à boucler, de réunions en briefings, de salons en conférence. Lui travaillait du soir matin au soir, pour oublier. Il avait failli. Il aurait voulu lui donner tant de plaisir. Mais il l’avait laissé frustrée. Il s’en voulait. De l’homme droit et fier qu’il était, il était redevenu un enfant. Elle avait été plus femme que ce qu’il avait été homme. L’homme qu’il était ne supportait pas qu’elle ait pu imaginer qu’il l’eût laissé en plan. Il fallait qu’il lui dise. Elle, femme qu’elle était, ne se souciait guère de tout ça. Elle avait même oublié. Ses responsabilités l’avaient un peu écarté, mais il restait malgré tout là, dans son esprit, sachant qu’elle pouvait compter sur lui si besoin se présentait. Il attendait d’elle un signe. Elle allait le lui donner. Son mari s’était absenté quelques jours avec ses enfants. Ils étaient partis pour quelques jours de repos chez des cousins à une centaine de kilomètres de là. Elle prenait sa douche comme tous les matins. L’eau dégoulinait le long de son corps. Effleurant son sein, l’image de son amant venait de réapparaître. Un frisson parcourut son corps, un battement emplie son ventre. Elle avait connu cette sensation. Il lui manquait. Elle ne l’avait plus vu depuis un mois. Son téléphone sonna. S’essuyant rapidement pour sortir de la baignoire, son répondeur s’était enclenché. Samantha, sa collaboratrice, l’appelait pour lui annoncer l’annulation de la réunion du jour. Du fait, la journée serait plus calme. Elle partit de chez pour se rendre à son travail et comme elle ne l’avait plus fait depuis quelques temps, elle décida d’aller prendre un café, espérant secrètement voir celui qu’elle désirait tant…. Et il était là. Plongé dans son journal. Passant à côté de lui sans dire un mot, elle alla s’asseoir, comme à chaque rendez vous, sur cette banquette au fond du bar. Les effluves de son parfum venaient de toucher ses narines…… il l’avait reconnu, ce parfum qui l’avait tant envoûté. Il leva les yeux, elle était là, rayonnante de beauté, souriante, resplendissante…..heureuse de le revoir. Il se leva afin de la rejoindre. Ils se dirent bonjour, se serrant la main comme deux parfaits collègues de travail. Puis commandant leur café, ils échangèrent quelques mots. Elle ne voulait pas trop s’étaler, le passé était le passé, ce qu’elle voulait c’était un futur immédiat. Elle lui demanda d’être disponible à midi, de l’attendre à la sortie du parking. Elle habitait à dix minutes de là. Il serrait là. Midi venait de sonner. Elle l’attendait à la sortie du parking. Ils partirent tos deux en voitures, échangeant quelques banalités. Elle alluma une cigarette. Il en prit une, lui qui ne fumait pas. La tension était palpable. Elle habitait une grande maison. Elle venait de prendre leur destin en main. Elle l’avait attiré là, sachant qu’il n’y aurait personne aujourd’hui pour les déranger.Ils entrèrent. Il faisait chaud. Elle lui proposa un café. Ils rallumèrent une cigarette. Elle lui fit visiter ce qui était son domaine. Lui ne voyait qu’elle. Elle était belle. Sa robe noire dessinait des hanches parfaites. Il les avait tenues dans ses mains, mais il avait oublié comme elles étaient si parfaites. Ses jambes fines semblaient ne jamais terminer……elle parlait, mais il ne l’écoutait plus. Ils arrivèrent devant la chambre. Sans se retourner, elle le prit par la main…….sans un mot, il se laissa guider. Un grand lit, des volets entre ouvert….. La lumière était douce, tout comme sa peau. Arrivée au bord du lit, elle se tourna. Son regard trahissait une envie, l’adrénaline avait fait bondir son cœur. Lui aussi était impatient……mais cette fois, il voulait prendre le temps. Prendre le temps qui lui avait manqué la fois d’avant. Prendre le temps de goûter à nouveau sa peau, de respirer son odeur, de la sentir gémir sous ses doigts. Il voulait la caresser, dessiner de ses mains les moindres courbes de son corps. S’imprégner d’elle, elle qui ne serait peut être jamais à lui. Elle voulait qu’il la possède. Sentir à nouveau son souffle dans son cou, sentir son corps si doux et rassurant à la fois. Elle voulait qu’il soit à elle aussi. A elle l’espace de ce midi. Enlacés, leurs mains allaient et venaient, de leurs cheveux à leurs hanches, de leurs torses au creux de leurs jambes. Plus rien n’existait. Juste eux. Là, dans cette chambre. Ses seins étaient durs. Son souffle rapide. Il releva sa robe. Sa main effleura le haut de son bas. Elle caressait maintenant ses fesses. Elle portait un slip brésilien en dentelle noire. De ses fesses, il remonta sur ses reins. Elle n’avait que sa robe. Rien d’autre dessous. Ils s’embrassèrent. Ses mains caressaient maintenant le haut de ses épaules. En redescendant, d’un geste habille il dégrafa son soutien gorge. Il voulait la voir. Sa robe n’avait plus lieu d’être. Tout en glissant ses mains de bas en haut sur ses hanches, il roula la robe, la fit monter encore et encore, jusqu’à lui ôter. Il ne lui restait plus que son slip et ses bas. Elle voulait le toucher, encore. Mais il avait inversé les rôles. Elle l’avait dirigé, il la menait maintenant. Délicatement, il la poussa sur le lit. Il l’embrassa dans le coup. Il sentait contre son torse ses deux magnifiques seins durs. Leur cœur battait. C’était doux. Il ne décollait plus ses lèvres de son corps. Elle caressait ses cheveux. Une larme coulait sur sa joue. Elle était heureuse. Désirée. Abandonnée à ce qu’il voudrait faire d’elle. Sa bouche dévorait maintenant ses seins. Il happait ses larges mamelons dont le bout pointait. Ses mains pétrissaient ces seins lourds, ces seins de femme. Elle gémissait. Les minutes passaient mais ils ne pouvaient plus s’arrêter. Il sentait sous lui, les battements de son ventre. Battements que sa respiration avait amplifiés. Il glissa jusqu’à son nombril. Sa main avait plongé plus bas. Elle était inondée. Il retira son slip et plongeât ses lèvres sur les siennes. Il venait de retrouver le goût du bonheur. Elle tremblait. Elle écartait toujours plus ses cuisses pour qu’il puisse profiter pleinement de son abricot sucré. Il gobait son sexe tout entier. Sa langue fouillait son intimité, titillait son clitoris durcit pas le plaisir. Elle était au bord de l’évanouissement. Soudain………..non plus de soudain…………….cette fois il n’y aurait qu’eux, rien d’autre. Elle sursauta. Sa main crispée l’avait mise à nu. Elle avait joui et bien qu’elle n’eut pas eu envi d’écourter ce plaisir, elle n’avait pas pu y résister. Mais le temps était avec elle aujourd’hui. Il continua de l’embrasser, remontant de son ventre à son visage. Elle le fit tomber sur le dos. Puis l’enjamba. Un à un, elle dégrafa les boutons de sa chemise. Puis l’écarta. Ses lèvres embrassaient maintenant son torse. D’une main habile, tout en le caressant de l’autre, elle enleva sa ceinture. Ouvrit sa braguette. Et descendant en glissant des genoux, elle lui retira son pantalon. Son caleçon était tendu. Elle observait. Elle l’observait. Le moindre de ses gestes déclenchaient chez lui un sursaut. Elle retira délicatement son caleçon. Son sexe était tendu. Elle l’avait aimé. Elle voulait le goûter à nouveau. Et elle s’y employa. Plus énergiquement cette fois, sachant qu’il ne résisterait pas longtemps. Sa bouche allait et venait. D’une main experte, elle le branlait. De l’autre, elle caressait son entrejambe, ses testicules. Quittant un instant son sexe, elle venait les exciter de sa langue. Elle le branlait toujours, toujours plus vite, toujours plus fort. Jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se retenir. Il jouie dans un râle sourd. Ses veines claquaient. Il transpirait. Mais elle en voulait encore, elle en voulait plus. Elle le voulait entre ses cuisses. Revenue à cheval sur lui, elle l’embrassa. Sans un mot. Elle ouvrit le tiroir de sa table de nuit. Elle en sortit une petit boite cartonnée et en retira un préservatif. Cette fois, il ne s’échapperait pas. Elle était assise à cheval sur son ventre. Son regard planté dans ses yeux, elle passa sa main derrière elle pour venir trouver son sexe. Encore sous le coup de l’effort, il s’était ramolli. Elle le caressa. Encore. Et elle le sentit durcir à nouveau. S’esquivant un instant de sa position dominante, elle plongeât à nouveau entre ses cuisses et le suça. Elle suçait divinement bien. IL retrouva vite sa vigueur. Profitant de son état, elle déroula le préservatif sur son sexe droit. Elle le voulait. Là entre ses cuisses. Sans perdre un instant, elle se remit à cheval, guidant maintenant ce sexe dur au creux de ses jambes. Elle était trempée, humide, lubrifiée comme jamais. Et malgré qu’elle fût étroite, elle s’empala sur lui dans un mouvement de rein franc et décidé. Il lui tenait les hanches. Elle ferma les yeux. Ses mains appuyaient sur son torse. La tête en arrière, son souffle s’accélérait. Elle aimait cette position. Elle agissait pour son propre plaisir, guidant le sexe de son amant au creux de son ventre, accélérant et ralentissant à outrance, ondulant son bassin. Ses fesses venaient s’appuyer sur le haut de ses cuisses, elle s’enfonçait encore et toujours plus loin. Il la regardait, il ne voulait rien rater de ces instants. Ses seins rebondissaient à chaque mouvement, elle transpirait. Leurs sexes étaient trempés. Il sentait les muscles de son vagin enserrer sa verge. Il les sentait se contracter. Elle était belle. Accélérant encore les mouvements, il comprit qu’elle voulait aller au bout de son plaisir. Il attrapa ses fesses et accompagnant ses allez et venus, il amplifiait ses mouvements par de rapides coups de reins. Elle avait ouvert les yeux. Elle était devenue tigresse. Elle avait attrapé sa tête et l’avait collée contre elle. Elle voulait jouir encore, elle allait jouir encore…Elle se laissa tomber sur le côté. Toujours en elle, il l’embrassa, lui laissant reprendre sa respiration. Mais sa main l’incita à se mettre sur elle. Elle ne voulait plus qu’il s’arrête. Elle voulait qu’il la prenne encore. Elle était encore humide. Il se mit en appui et commença à aller et venir au creux de ses jambes. Cette fois c’est lui qui menait la danse. Rapidement puis lentement, rectiligne, puis tournoyant, il variait les ondulations de son corps pour mieux parcourir ces zones propices au plaisir. Il l’embrassait dans le cou. Elle gémissait. Il se retira. Lors d’une discussion, plus coquine que les autres, elle lui avait dit qu’elle aimait être prise par derrière. Il allait lui rendre cet hommage. Délicatement il la prit par le bras. Elle avait compris. Elle se tourna. Elle offrait maintenant sa croupe à ses yeux. Cette vue divine, lui donnait maintenant encore plus de vigueur. Tenant son sexe dans sa main, il le guida jusqu’à l’entrée de sa fente. Dans un mouvement lent, il la pénétra. Elle se laissa tomber en avant, les fesses cambrées pour être mieux offerte à lui. Il allait et venait en elle. Il savait qu’il ne pourrait plus tenir longtemps. La tenant par la taille de temps à autres, baladant ses mains sur ses fesses et ses reins, il sentait qu’il allait jouir. Il accéléra le mouvement. Il se crispa. Ses mains se figèrent. Il tremblait. Il se laissa tomber à son tour sur lit. Cote à cote, main dans la main, ils regardaient le plafond. Plus rien n’existait. Sauf eux. Ils étaient là, bien vivants. Ni eux ni personne ne savaient ce que serait demain, mais ils s’étaient aimés l’espace d’un instant. Personne ne pourrait leur enlever. |
| | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 16:58 | |
| pouahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh | |
| | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 17:00 | |
| pouahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh | |
| | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 17:31 | |
| euh message à cassandre .... ou aux autres fifilles lol ... pouvez me dire sincèrement ce que vous a fait ressentir la lecture de cette histoire ???merciiiii:geek: | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 17:50 | |
| |
| | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 18:09 | |
| | |
| | | Téfy Dans l'extase
Nombre de messages : 1490 Age : 53 Localisation : Dans tes pensées :p Date d'inscription : 27/01/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 18:50 | |
| Vraiment excellent !! Dis donc ! u as un sacré talent de naration toi hé !! Maintenant il faut que tu nous dise que c'est pas fini , qu'il y a encore au moins 3 ou 4 chapitres !! Franchement excellent, plus je lisais et plus je m'envolais. Je me voyais même à côté d'eux !! hihihi !! Encore!!!!!!! encore !!!!!!!!! | |
| | | Invité Invité
| | | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 20:59 | |
| - Téfy a écrit:
- Vraiment excellent !!
Dis donc ! u as un sacré talent de naration toi hé !!
Maintenant il faut que tu nous dise que c'est pas fini , qu'il y a encore au moins 3 ou 4 chapitres !!
Franchement excellent, plus je lisais et plus je m'envolais. Je me voyais même à côté d'eux !! hihihi !!
Encore!!!!!!! encore !!!!!!!!! téfy je te rejoins complètement dans ce que tu dis ... il faut que leur histoire continue à ces deux là .... quand je lisais (j'avoue j'ai relus au moins 3 fois depuis le début lol).... par contre moi je ne me voyais pas à côté mais j'étais tellement entrée dans la peau de la femme que je me sentais vraiment rougir,(d'ailleurs j'ai eu droit a une remarque de mon cher et tendre ... la honte) je ressentais des émotions, comme si c'était moi .... je le vivais dans ma tete et c mon corps qui le ressentait !! bouhhhhhhhhhhhh xs !!! un dieu dans l'art du récit .. es-tu bien réel ???? | |
| | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Jeu 25 Oct - 21:04 | |
| euh une dernière tite question xs ... tes idées tu les imagines ... c des histoires perso ??? tu décris la façon de l'homme de faire l'amour à cette femme avec tant de réalisme .... ... est-ce ta façon de faire en réel ... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Ven 26 Oct - 17:19 | |
| |
| | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Ven 26 Oct - 17:48 | |
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| | | CASSANDRE plus haut dans sa sphère
Nombre de messages : 1654 Age : 115 Localisation : Dans le coeur de ceux qui m'aiment Date d'inscription : 27/01/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Ven 26 Oct - 23:43 | |
| Et biennnnnnnnnnnnnnnn.........; je viens de tout reprendre pour lire d'un seul coup !!!!! On s'y voit biennnnnnnnn ouf, pourquoi j'ai chaud ???? | |
| | | réelle Dans l'extase
Nombre de messages : 1195 Age : 52 Localisation : un petit coin de paradis Date d'inscription : 11/09/2007
| Sujet: Re: Textes érotiques..... Sam 27 Oct - 9:38 | |
| - CASSANDRE a écrit:
- Et biennnnnnnnnnnnnnnn.........; je viens de tout reprendre pour lire d'un seul coup !!!!!
On s'y voit biennnnnnnnn ouf, pourquoi j'ai chaud ???? ah merci ma cassandre ..... je ne suis donc pas la seule !!! | |
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| Sujet: Re: Textes érotiques..... | |
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