Raconter une situation vécue

Et si on se racontait nos petites histoires coquines ou simplement romantiques???
Mais que des HISTOIRES VECUES bien sûr !
Elles peuvent être insolites, dangereuses, comiques, très charnelles, ou au contraire.... d'une platitude !!!!, imprévues, très inventives, prévues mais complètement râtées,etc....etc...
Ainsi, cela "titillera" peut-être notre imagination !!!!
Allez, que chacun de nous fouille dans la boîte a souvenir........

allez je me lance,
voila c'est l'histoire d'une jeune femme de 19 ans moi lol et d'un jeune homme plus agée que nous nommerons monsieur x lol qui avons decider de sortir au resto cadre très sympa bougie lumiere tamisé etc... moi j'etait en tenue très femme fatale talon aiguillere guepiere jupe et chemisier noir lui costard cravate c'etait notre 1er sortie ensemble au resto j'avais decider de toute facon de provoquer au maximum cette homme beau brun au yeux bleu comme je l'ai aime et de finir par l'avoir dans mes filets je savais qu'il etait très sensible a moi a peine nous touchions nous qyue je sentais son sexe se durcir c'etait très visible alors pendants le repas je n'ai pris que des aliments genre crevette etc... qui me fesait me servir de ma bouche et de mes mains lol il etait a bloque je le sentais vin a table etc... l'envie et le desir montais de plus en plus a un moment je suis descendu au toilette me repoudrez lol et quand j'en suis sorti il etait la en bas ca fesais une sorte de cave très tamisser et la il ma attraper tourner et ma enfoncer son sexe..... c'eatit top exitant j'avais peur que des gens descende dans les toilettes ouf personne n'est descendu sinon j'aurais eu l'air fine avec mes fesses a l'air et lui en moi je vous laisse imaginer la suite mais j'en garde un gout esquis

à moi ...





Je devais avoir une 20aine d’année. Apres un petit accident
de squatch, je me suis retrouvé dans une clinique pour un séjour d’une semaine.
Et au milieu des infirmières il y avait une jeune stagiaire bien mignonne
d’ailleurs avec qui j’ai sympathisé très vite. Le truc, c’est qu’elle était
vraiment tres coquine. Elle n’arrêtait pas de me chauffer. (Oui, je sais, il
m’en faut pas beaucoup !) Par exemple, elle ne mettait pas de haut sous sa
blouse et venait se pencher sous mon nez, offrant sa poitrine à mes yeux
brillants, ou encore effleurant mon sexe quand elle devait me déplacer sur le
lit pour changer les draps… Effet garantit !!


Bref, rien ne se passa durant mon séjour, mais le soir de ma
sortie je l’invitai évidement à venir participer à une réunion d’amis. Je suis
donc allé la chercher chez elle, mais nous ne sommes jamais allé à la
réunion ! A peine dans la voiture, elle m’embrassa à pleine bouche et me
guida vers un parc de loisir. En chemin elle avait posé sa main sur mon
entrejambe et j’ai eu juste le temps de garer la voiture avant qu’elle dezippe mon jeans.. Une fellation dantesque s'en suivit ainsi qu'une chaude partie à l'arriere de la pauvre super5:lol:


Ce ne fut pas pour moi une surprise car je savais bien que
ça allait se finir comme ça, mais sa fougue m’avait extrêmement excité.
Mais je vous avoue que le jour le plus excitant de ma vie fût avec ma femme. Mais ça je vous le raconterai pas

Alors voila j'avais aussi une petite vingtaine d'années voir un peu moins je ne me souvient plus exactement et je venais de retrouver ma "chere et tendre" de toute mon adolescence car nous nous sommes croisés plusieurs fois entre 13 et 20 ans et franchement encore aujourd'hui je ne sais pas trop pourquoi ça n'a pas fini par le faire definitivement mais bon.... Là en l'occurence on etait ensemble et nous nous sommes isolés ds un park d'un centre equestre au dessus de notre ville et sommes allés tout au fond non loins d'une boutasse sous des petits bois et là avec la fougue de nos 20 piges nous nous sommes adonner a de bonnes et longues caresses couché a meme le sol. Puis vint le moment de la penetration qui se deroula plutot bien mais c'est au bout de 3,4 coups de rein que je me mis a ressentir des brulures ou piqures sur mes fesses et sur le coup j'ai pensé aux herbes qui me demangeaient mais cette sensation augmentait au point de devenir inssuportables et je du donc mettre un terme au coit et constater ce qui m'arrivait: j'avais 5 ou 6 IMMENSES boutons de moustiques qui me recouvraient les deux miches et nous forçaient finalement à changer d'endroit pour tout reprendre à zero, ce qui n'etait pas pour me deplaire

C’est moi qui ai lancé l’idée, et je n’ai même pas écrit…honte à moi.

Voilà une de mes petites histoires :

Il y a fort longtemps….hummm oui..... J’avais un copain que je voyais tous
les soirs dans la voiture, et pour nous retrouver, nous allions près d’une
rivière dans un coin sympa et tranquille.
Il nous arrivait souvent de faire l’amour dans la voiture,
et un soir en particulier, nous étions très chaud (bien qu’il fasse froid
dehors, c’était l’hiver) et nous nous sommes retrouvés totalement nus pour mieux profiter de nos corps.
L’excitation passée, le repos venant après des ébats
tumultueux (les mouvements de la voiture devaient en être le témoignage), nous
nous sommes aperçu qu’un homme se tenait près de la portière (fermée par
sureté, bien sur) et que le spectacle l’excitant, il était pantalon en bas des
jambes en train de participer à sa façon à nos ébats……..
Nous en avons ri, nous nous sommes habillés, et nous avons
pensé que finalement, nous lui avions économisé l’achat d’un livre spécialisé, ou la place d’un cinéma x.

lool Cassandre !! Pinaise !! y a des types qui ne manquent pas une occasion quand même !!
Quelle a été ta réaction sur le coup? Apeurée? Dégoutée? Excitée? Mort de rire ? :d

Téfy a écrit:

lool Cassandre !! Pinaise !! y a des types qui ne manquent pas une occasion quand même !!
Quelle a été ta réaction sur le coup? Apeurée? Dégoutée? Excitée? Mort de rire ? :d

A la découverte du type, un peu surprise et génée... mais cela n'a que peu duré, et nous en avons plutôt ri et trouvé ce mec assez minable....

Je ne peux m'empêcher participer bien-sûr...

2 histoires me viennent :

Nous faisions du bateau a voile au large de Porquérolle loin de la côte hein..
Donc avec mon épouse que tout les deux, soleil et tout donc a poil. Bon forcément la gualipette sofictiquée, sur le pont...
Deux Mirages (armée de l'air) son passé en accentuant le ras motte, il me semble que dans le feu de l'action, nous avons continué... Nous avions la 30 ène...

Au cours de mon jogging dans les chemins de montagnes derrière chez moi, sans le vouloir, j'ai surpris un très jeune couple dans une voiture vitres ouvertes, au moment fatidique... Vu les cris et la croupe féminine (très belle d'ailleur) elle était très jeune...
Je ne sais s'ils m'ont vu, en tous cas je n'ai jamais regrété de ne pas les avoir dérangé... C'est très beau, plutôt pur, du moins le souvenir...

Non, pas du tout croustillant, mais très surprenant sur le plan émotionnel...

J'ai eu un contact téléphonique assez régulier avec un homme, je ne connaissais que sa voix et nous nous apprécions de plus en plus à chaque conversation téléphonique.

Un jour, il m'a proposé de prendre un verre, mais je m'étais bien mis dans la tête qu'il était bien plus jeune que moi, et que ce verre resterait sans conséquence.

Quand, je suis arrivée au rendez-vous, il était déjà là et au premier regard, il s'est réellement passé quelque chose....
Nous sommes restés à bavarder ainsi une bonne partie de l'après-midi, de banalités, et à chaque regard.... ouf, indescriptible, mais bien sur, je me répétais toujours : "trop jeune pour toi"....J'avoue avoir un peu joué du regard, les atouts, restent toujours les atouts.... les femmes sont ainsi faites....
Le temps est passé a une rapidité déconcertante, et nous avons du nous quitter.
En arrivant à la voiture, rien de particulier, si ce n'est que nous n'avions pas du tout envie de nous quitter, il m'a fait la bise correcte en tout bien tout honneur.
Je suis montée dans ma voiture.... avec un grand manque.
Puis, j'ai baissé ma vitre, pour lui dire un dernier au revoir, et j'ai posé ma main sur le bord de ma portière, il l'a saisi, et là........... vous souvenez-vous du film "du gendarme se marie, avec De Funes", et bien nous avons eu tout les deux la même sensation..... une attirance folle !!!!
Là, j'ai laissé sauté le verrou que je m'étais imposé... et je me suis laissée porter............... Voilà, c'est tout simple, il n'y a rien de coquin, seulement une très grande émotion.... et j'avais envie de vous la faire partager.

Premier rendez-vous :

Il m’attend dans sa voiture… le soleil éclaire son regard sombre… le mien se laisse prendre dans ce filet tendu pour moi, le temps qui passe dure une éternité….
Ce moment où enfin nous découvrons nos visages est réservé, nous nous sentons un peu maladroits. Nous allons au bord de la rivière, et la conversation s’engage sur les banalités du quotidien, rien de particulier… si, le bruissement des feuilles sous le vent d’automne donne à cet instant l’envie de suspendre le temps. Ce temps qui passe si vite en sa compagnie, ce temps qui nous est compté.
Sans que je pressente ce moment à venir, l’éclat de son regard s’illumine et c’est dans un murmure que j’entends : »tu as cinq seconde pour m’embrasser »… ma surprise est très grande. Je ne me suis jamais trouvée dans une telle situation… mais l’instant à quelque chose d’un peu magique. Prendre une décision qui peut me porter vers le meilleur, cette décision m’appartient ! C’est alors que commence le compté à rebours, les secondes s’égrainent : cinq, quatre, trois, deux, un…… je m’avance vers son visage… je suis maitresse de la situation, je pose doucement mes lèvres sur les siennes, et je peux en sentir la douce chaleur qui s’en dégage. Nous avons la même approche du baiser, nous aimons tous les deux, les jeux des lèvres qui se cherchent , nous profitons au maximum de ce moment de pur plaisir, les caresses de quatre lèvres qui se rencontrent… le désir d’aller plus loin, le désir de sentir nos langues s’enlacer… oui, nous le sentons venir !! inutile d’attendre plus longtemps, inutiles de se faire languir, nous partons sur ce tapis qui nous emporte dans la torpeur d’un échange d’un interminable baiser, nous nous laissons aller à nos envies de caresses, nous voyageons dans un monde qui n’appartient qu’à nous, un monde rien que pour nous... Quand enfin nous reposons les pieds sur terre, il m’avoue doucement : »j’ai eu peur, je croyais que tu ne le ferais pas ! »

Ouffff ;tu m'as tenu en haleine puis tu m'as frustrée.

kiwee a écrit:

Ouffff ;tu m'as tenu en haleine puis tu m'as frustrée.

Chaque chose en son temps !!!!

Oui la patience a du bon ;en tout cas très romantique ce moment passé sous ce vent d'automne.

J'ai déplacé ce magnifique texte de notre Réelle, afin de pouvoir que nous en profitions au maximum .....

réelle


Du bout des doigts caresser ses lèvres. Manger son sourire pour m’en souvenir encore et encore surtout les week-end.
Comme de ses râles de plaisir qu’il expire en écoulant son sperme dans mon ventre ou en moi. Goûter ces heures où, séparés du monde extérieur, nous respirons dedans notre bulle.
L’écouter m’énoncer d’une voix douce de futurs délicieux supplices. « Tu me suceras en te masturbant... Je m’envelopperai de ton odeur intime, ton string mouillé par ton excitation dans ma bouche... Et je te respirerai... Je te respirerai... J’aime tellement ton odeur... Quand mon sperme envahira ta bouche, tu ne l’avaleras pas... Tu le garderas en bouche pour venir le verser dans la mienne tout en frémissant sur mon sexe... »
Comme une femme, les lèvres ouvertes comme une fleur épanouie. Une fleur rose sang au pistil érectile et aux pétales ourlés d’une multitude de perles humides. Humidité qu’il sait rendre si abondante. Si abondante qu’elle en mouille le haut de mes cuisses.
Et puis ....
Refuser de se demander s’il lui fait aussi bien l’amour.
Réfuter ce pincement au cœur lorsqu’il évoque une future soirée avec elle. Elle, sa femme.
Se nourrir du moindre de ses silences, de nos si nombreux échanges, de ses immixtions surprises. Des morceaux de sa vie qu’il amène avec lui.
Mesurer sa présence aux heures qui nous séparent.
Se délecter de ses appels furtifs me rappelant son manque de moi.
Sourire en l’entendant avouer qu’il vit beaucoup moins bien sans le son de ma voix, qu’il a aimé cette journée passée avec moi.
Se laisser envahir par son souffle.
Encore et encore.
Aimer ce rôle qui n’en est pas un.
Je suis maîtresse en sa demeure
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je ne suis pas parfaite ... tu n'es pas parfait ... et c'est parfait comme ça !!

Magnifique !!!!!